Synopsis
Une analogie avait été établie, à une époque fort lointaine, entre l'iris et les 7 planètes majeures du système solaire.
Le présent ouvrage montre que cette analogie est effectivement observable via l'analyse irienne selon une topographie précise (celle des 7 cercles iriens), et que les vecteurs de cette analogie sont les 7 métaux que la Tradition alchimique avait attribués à ces planètes dès l'époque pharaonique.
La biologie a confirmé dans les années 80 que l'ADN était le récepteur de ces énergies métalliques, et que les 7 métaux alchimiques étaient les seuls métaux ayant la capacité d'ouvrir l'ADN pour y opérer des transformations.
A la lumière des découvertes en physique quantique et de la Tradition Hermétique(Alchimie, Magie, Astrologie et Kabbale), nous démontrons la place et le rôle des métaux dans cette analogie, ainsi que leur application thérapeutique après détection de leur zone de projection dans l'iris.
Outre l'exposé pédagogique et l'application de cette découverte thérapeutique, ce travail étend les correspondances métalliques à l'ensemble des remèdes et des techniques naturopathiques.
Il propose aussi deux axes de recherche radicalement nouveaux :
- En homéopathie selon une méthode alphanumérique créée par Pythagore que nous appliquons au nom latin des remèdes en distinguant bien énergie et information : l'énergie d'un remède homéopathique dilué et dynamisé est un principe physique s'exprimant en fréquences ; en revanche l'information contenue dans un remède est un principe non plus physique mais mathématique dont la numérologie pythagoricienne est à même de rendre compte.
L'Homéopathie n'a jamais établi cette distinction entre remède énergétique et remède informationnel, ces deux termes étant le plus souvent employés l'un pour l'autre.
Ce modèle numérologique nous a aussi permis de classer les remèdes sur l'arbre kabbalistique et de déterminer leur zone de projection dans l'iris (voir schéma et classification dans le livre).
- En iridologie en précisant l'hypothèse d'une voie photonique de marquage irien qui lèverait le délicat problème des variations cartographiques d'un auteur à l'autre.
Il sera question dans cette partie de mécanique ondulatoire, d'analyse mathématique de Fourier, de la relation confirmée scientifiquement entre lumière et ADN, ainsi que du rôle du psychisme dans la chute de la fonction d'onde de cette lumière parcourant l'organisme.
Nous parlerons aussi de l'origine embryologique double de certains tissus organiques et de cette conséquence sur leur zone de projection irienne, des méridiens d'acupuncture entretenant une relation particulière avec l'œil et la lumière, ainsi que des corps subtils appelés « corps de lumière » dans la Tradition.
Nous verrons plus spécifiquement comment et pourquoi - dans l'hypothèse d'une voie photonique de marquage irien - les projections iriennes ne peuvent pas être identiques d'un individu à l'autre, et ne révéler que des tendances statistiques liées aux caractéristiques même de la lumière.
Cet ouvrage tente avant tout d'éclairer la Naturopathie et l'Iridologie sous l'angle double des Sciences quantiques et de la Tradition ésotérique, abordant des rivages méconnus où semblent converger ces deux approches.
Seront traités des points de physique, de chimie, de biologie et de psychologie où de nombreuses expériences sont décrites, de diététique mais aussi d'ethnologie et de la connaissance rationnelle des sociétés traditionnelles, de spiritualité, de méditation, de magie au sens noble, de radiesthésie, de géobiologie et de géométrie sacrée, de numérologie (arithmologie et arithmosophie) ou encore de Tarot et de théorie des Eléments.
Il ne s'agit pas de se disperser à l'infini ni d'offrir une synthèse gratuite de l'ésotérisme, mais de montrer que l'ensemble de ces disciplines qualifiées d' « occultes » formaient à l'origine un tout dont l'unité a été perdue ou oubliée. Ces éléments segmentés sont aujourd'hui comme des pastilles magnétiques décrochées d'un tableau devenu introuvable, ce qui rend hélas le mouvement New Age peu crédible et confus.
Ce tableau où chaque pièce trouvait son origine, son ordre et sa place a pourtant toujours existé selon un tracé historique discret : 14ème siècle avant JC en Egypte, il apparaissait officiellement sous le nom de Science Hermétique.
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