En observant les cercles physiologiques en iridologie et leur correspondance planétaire telle que l' astrologie l'a posée (schéma ci-dessous), nous avons pensé qu'une telle relation, si elle existait, devait mettre en jeu des supports permettant à ces phénomènes énergétiques de circuler, de se propager et de se répondre du macrocosme  (système solaire) au microcosme (humain).




  

Notre hypothèse fut la suivante :

 

Les métaux, conducteurs universels, sont présents dans l'écorce terrestre, dans le corps minéral, végétal, animal et humain ainsi que partout dans notre système solaire : pourraient-ils servir de véhicules à ces flux énergétiques entre planètes du système solaire et corps humain, directement observables via l'iris?

 

Cette hypothèse nous conduisit vers ceux qui avaient travaillé sur les correspondances planètes/métaux : les alchimistes (Paracelse) et plus tard les anthroposophes (Steiner). Nous pouvons donc superposer le schéma suivant au précédent :


 



Rapidement cette hypothèse devint une application pratique en naturopathie, qui seule devait permettre de valider ou d'infirmer notre hypothèse.

 

Il s'agissait donc d'observer les cercles physiologiques en dérégulation dans l'iris et de tenter d'y apporter une correction par l'apport du métal correspondant.

 

A l'appui de notre hypothèse s'étayait la conviction du rôle capital des métaux, attesté par de nombreux chercheurs :

 

« Les raisons de l'importance des métaux en médecine physique et psychique sont faciles à comprendre :

 

      - Le globe terrestre est composé en majeure partie de métaux et d'oxydes métalliques; ces corps, représentant la plus grande masse des roches, conditionnent dans une large mesure les influences du sol, auxquelles les êtres vivants sont si sensibles.

 

      - Les métaux semblent tous présents dans les tissus des organismes vivants, mais en très faibles quantités (à l'inverse de la proportion dans les sols). Ce qui fait que des doses infimes peuvent produire des modifications importantes.

 

        - Les métaux étant, à des degrés différents selon leur nature, de bons conducteurs de la chaleur, de l'électricité et de l'influx nerveux, provoqueraient de rapides modifications des réactions électriques, thermiques et nerveuses des organismes vivants, chaque métal exerçant une action particulière.


D'ailleurs, les cellules vivantes peuvent être assimilées, depuis les travaux de G. Lakhovsky et de plus en plus d'après les théories les plus modernes à de véritables systèmes électriques, doués d'auto-induction, de capacité et de résonance, ce qui justifie peut-être le mieux que les métaux puissent corriger les caractéristiques cellulaires, et cela aussi bien en application externe et même à distance que par assimilation interne.

 

      - Les métaux présentant des résonances caractéristiques aux influences planétaires (phénomène qui a pu être observé pour quelques-uns de façon scientifique), leur introduction dans l'organisme ou dans l'ambiance d'un être agirait sur la sensibilité aux influences astrales correspondantes ». F . & W. Servranx et collaborateurs.



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