Naturopathe – Iridologue, auteur et conférencier, nos recherches menées depuis plus de 20 ans dans le domaine de la santé naturelle, et leur application quotidienne en cabinet, nous ont conduit à donner à notre travail une tonalité particulière dont les grandes lignes sont abordées sur les pages de ce site, et plus en détail dans l’ouvrage ci-dessous.

C’est cette approche que nous proposons aux patients de découvrir dans le cadre d’un bilan iridologique et d’une consultation naturopathique en cabinet à Saintes, ou bien à distance (voir page consultations).

L’iridologie outil de bilan en naturopathie

Observable à l’iridoscope, le corps humain se projette dans l’iris (découvertes initialement faites et développées par des médecins au cours des XIXème et XXème siècle), permettant selon les différents signes et leur localisation, d’évaluer notre terrain individuel (zones de force et de faiblesse organiques et physiologiques) afin de déterminer la stratégie thérapeutique naturelle à adopter pour réharmoniser ce terrain particulier où s’installent symptômes et pathologies.

La médecine pose un diagnostic et soigne des pathologies, tandis que la naturopathie s’occupent de rééquilibrer le terrain (préalablement évalué en Iridologie) sur lequel se développent symptômes et pathologies ; il est important de distinguer ce qui n’a pas lieu d’être opposé. Il est bon aussi de rappeler qu’un naturopathe à le droit juridique d’exercer sa discipline, malgré les multiples tentatives de le faire passer pour un charlatan dangereux à la limite de la loi, détournant le commun de la rationalité officielle.

Nous avons reçu une solide formation de 3 années en naturopathie et en iridologie, suivie d’une 4ème année plus spécifique en iridologie.

Sans rejeter l’enseignement classique propre à ces deux disciplines, nos recherches personnelles nous ont conduit sur des rivages plus anciens où la Tradition, porteuse d’une connaissance analogique et unifiée de l’homme et de l’univers, était appliquée à l’art thérapeutique.

Là où les Anciens (dont les derniers grands représentants furent les philosophes et médecins de l’antiquité, et plus proche de nous Paracelse au moyen âge) privilégiaient une approche analogique et unifiée du monde, les modernes ont adopté une approche logique et segmentée de chaque discipline.

Aucune de ces deux voies n’est à rejeter, mais la logique dominante (physique et rationnelle) est devenue incapable d’évaluer l’approche analogique (métaphysique et supra rationnelle) de l’univers prônée par la Tradition, et réenvisagée aujourd’hui par la cosmologie moderne.

Nous entrons dans ces détails dans un second livre (non encore édité) où nous confrontons les données de la Tradition avec les avancées récentes de la physique et de l’astrophysique, et où nous montrons que les Anciens disposaient d’un Modèle analogique de l’homme et de l’univers (Modèle Septénaire).

Nous utilisons ce modèle dans notre approche holistique de la naturopathie et de l’iridologie, sans présumer de son absolue vérité, mais sans non plus rejeter par à priori ce qui relève du passé sous prétexte que la modernité lui serait en tout point supérieure.

L’étude conjointe des textes anciens et des hypothèses scientifiques modernes nous met en garde contre toute réduction logique consistant à qualifier ce qui nous échappe d’irrationnel.

La voie analogique considère les limites du raisonnement – sans l’exclure – et soutient que le supra rationnel n’est pas irrationnel, mais qu’il fait appel à d’autres outils et à d’autres méthodes pour être approché, à condition bien sûr que cette voie de connaissance ne soit pas une simple vue de l’esprit comme le suggère la pensée contemporaine, pourtant de moins en moins érudite et de plus en plus matérialiste et agitée.

Ce regard sur le passé nous a révélé la présence discrète d’une trame ternaire structurant l’homme et l’univers, venant de très loin et traversant les âges malgré les multiples tentatives post modernes d’y substituer une version binaire stérile et séparatiste.

Les trinités, présentes au coeur de chaque tradition, renvoient bel et bien à l’unité comme le montre la terminologie elle-même (tri-unité), ce à quoi ne saurait prétendre la version binaires contemporaine, très récente à l’échelle de l’histoire humaine.

Dans un second ouvrage, nous abordons en détail l’universalité historique de l’approche ternaire et son usage analogique possible en médecine naturelle. Nous montrons aussi le passage du ternaire à sa version plus détaillée que constitue le Modèle Septénaire (7 Plans divisés chacun en 7 sous plans), permettant de hiérarchiser INFORMATION– ENERGIE– MATIERE et de repérer leur résonnance analogique à travers l’homme.

Le mouvement perpétuel parcourant ces référents ternaire et septénaire dévoile le jeu des correspondances entre Plans et sous plans perturbés et remèdes naturels selon de très anciennes classifications analogiques (planètes, métaux, Eléments, couleurs, sons, pierres, plantes etc.) mentionnées dans notre premier ouvrage .

Nous nous sommes interrogés sur la pertinence de l’analogie suivante entre Tradition et Science, qui chacune évoque dans son langage particulier un modèle ternaire parcourant le macrocosme (univers) et le microcosme (homme) :

Et nous avons observé que cette analogie semble fonctionner, car il ne faut pas s’illusionner, quand on exerce dans un domaine éminemment concret où les gens cherchent des solutions à leurs problèmes, les délires ne résistent pas à l’épreuve des faits – et l’on ne gagne pas sa vie – contrairement à d’autres domaines alternatifs où tout un public vient chercher des réponses à un mal être général, et où ne sont vendues que des paroles, du charisme ou des croyances

Il convient donc de bien distinguer ces 3 plans, et notamment le plan de l’énergie de celui de l’information, systématiquement confondus (exactement comme sont confondus âme et esprit, pourtant bien distincts à l’origine) et auréolés de concepts new age rarement maîtrisés, où il est indifféremment question de médecine énergétique, quantique, informationnelle ou holistique.

C’est à partir seulement de nuances clairement établies et de définitions précises que nous pouvons commencer à travailler sérieusement et à approcher l’homme dans la globalité de ces trois plans, avec des remèdes naturels dont les degrés de subtilité s’ajustent à ces trois plans selon leur hiérarchie causale, étant entendu là encore – pour écarter toute simplification très en vogue dans les milieux alternatifs – que le plan le plus subtil n’est pas nécessairement le plus causal.

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Xavier Slingue

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